Croissance Avenir jusqu’à 2000€ offerts, à saisir avant le 31 mai 2025
Offre de bienvenue sur le contrat d’assurance-vie Croissance Avenir, plébiscité par la presse financière.
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Le marché français de l’assurance vie a enregistré une activité solide en 2018 et bien meilleure qu’en 2017, en dépit d’un trou d’air au mois de décembre, selon une estimation publiée lundi par la Fédération française de l’assurance (FFA). À fin décembre, l’encours des contrats d’assurance-vie s’élevait à 1.700 milliards d’euros, en progression de 1 % sur un an.
La collecte nette de l’assurance vie, c’est-à-dire la différence entre les montants déposés par les épargnants et les sommes retirées, s’est établie « à 22,4 milliards d’euros en 2018, en très net progrès par rapport à 2017 », année durant laquelle la collecte nette avait atteint 8,3 milliards d’euros, a précisé la fédération dans un communiqué. La FFA qualifie ce résultat d’« encourageant », notamment au regard d’un environnement économique et financier décrit comme « incertain » et qui a d’ailleurs manifestement pesé sur l’activité lors du dernier mois de 2018.
En décembre, le marché de l’assurance vie a en effet connu une décollecte de l’ordre de 600 millions d’euros, soit sa plus mauvaise performance depuis deux ans et son seul mois négatif en 2018. Durant cette période, les marchés financiers ont été la proie de vives secousses sous l’effet conjugué de craintes concernant une guerre commerciale entre Chine et États-Unis, les conséquences du Brexit ou encore la situation politique dans certains pays européens comme l’Italie.
« Il y a eu un élément de psychologie. Compte-tenu de ce que les gens ont vu, lu, entendu, analysé de la situation des marchés, ils ont adopté la position traditionnelle de prudence », a souligné à l’AFP Bernard Spitz, le président de la FFA. En dépit de cette contre-performance, la FFA met en avant la forte progression sur l’ensemble de 2018 des investissement en unités de compte, terme désignant des placements non garantis et plus risqués mais potentiellement plus rémunérateurs pour l’épargnant.
Dans un contexte de taux très bas qui compliquent la tâche de faire fructifier l’argent, les assureurs poussent en effet depuis plusieurs mois les épargnants à investir sur ces produits, au détriment des placements dits « euros », dont les fonds sont garantis, mais dont le rendement ne cesse de s’effriter.
Paradoxe à la française, ou simple manque de chance, c’est en 2018 que les épargnants ont le plus versé sur les unités de compte. La même année d’une chute historique de toutes les classes d’actifs en même temps, hormis celle de l’immobilier. Cela n’était jamais arrivé auparavant, mettant au placard toutes les théories sur la diversification des investissements sur les différents types d’actifs.
« Avec 39,5 milliards d’euros, l’année 2018 s’inscrit comme la meilleure année de l’histoire en termes de volumes de souscription d’UC », se félicite la FFA. À fin décembre, l’encours des contrats d’assurance-vie s’élevait à 1.700 milliards d’euros, en progression de 1 % sur un an.
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