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Après [a[Advize]a], [a[Yomoni]a], voici venir très prochainement [a[Marie Quantier I]a], un nouveau contrat d’assurance-vie issu également proposé par une toute jeune FinTech, Marie Quantier. Assuré auprès de Suravenir, comme la majorité des autres contrats reposant sur la même philosophie, Marie Quantier I est destiné aux épargnants n’ayant pas peur de prendre des risques. L’idée proposée est très simple : les investisseurs ouverts aux unités de compte n’ont plus à les choisir. Et pour cause, car la plupart des investisseurs ne savent jamais quels actifs choisir !
C’est pourquoi, avec la sensible ouverture d’esprit des épargnants aux placements à risque, et le brouillard actuel sur les marchés financiers, laisser choisir ses placements par un programme informatique ne doit pas être plus stupide que par son conseiller financier, dont la principale motivation, reste le calcul de sa propre commission.
Si une majorité d’épargnants sont plus ouverts à prendre position sur les unités de compte, ils doivent comprendre, que, contrairement à certaines publicités, souscrire un contrat d’assurance-vie auprès d’une FinTech, c’est avant tout accepter de miser sur des placements à risques, notamment des ETF/trackers ou fonds indiciels. Sans quoi, aucun intérêt ! Avec un profil sécuritaire, autant placer sur un fonds euros performant. Ces contrats FinTech sont bien équipés d’un fonds euros, mais leurs atouts ne sont clairement pas là !
Assuré par Suravenir, ce contrat est évidemment sans frais sur les versements. Les frais d’arbitrages sont à 0,1% et les frais de gestion de 0,6%, aussi bien sur les unités de compte que sur le fonds euro Suravenir rendement.
Si l’allocation d’actifs en fonction d’un profil de risque n’a rien de nouveau, cela fait plus de 15 ans que cela existe sur le web pour les particuliers, ce qui est plus novateur est vraiment d’en faciliter son usage. Avec l’arrivée des trackers/etf, cela devient un jeu d’enfant de construire un portefeuille adapté à un profil d’investisseur. En fonction de l’évolution des marchés financiers, et sans pour autant arbitrer toutes les semaines les unités de compte, Marie Quantier I doit permet, 4 fois par an, de composer la répartition idéale des unités de compte afin d’optimiser le couple rendement/risque lié à l’investisseur.
En échange de ses services, Marie Quantier facture une commission mensuelle fixe de 5.90€/mois à laquelle vient s’ajouter une commission de 5% sur les plus-values du portefeuille ainsi composé. Preuve que Marie Quantier est également intéressé aux succès des investisseurs.
Il aurait été réellement attractif que Marie Quantier participe également financièrement à hauteur de 5% des pertes financières constatées, en cas de réalisation d’un scénario défavorable. La preuve aurait été complète. Mais n’en demandons pas trop... Un jour viendra...
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